Premier réveil à Valparaiso ...
Exit
les pigeons : le cri des mouettes et les aboiements constituent notre
bande-son quotidienne. De temps en temps, la sirène d'un bateau qui
entre au port. La nuit, les voitures dévalent la pente pavée de la calle
Urriola. Ça fait un boucan d'enfer, si bien que l'on a cru, les
premières nuits, à une pluie torrentielle ou au bruit des vagues.
Mais non, le ciel est bleu ici et la Marisol en profite autant que nous.
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